Selon l’échelle de mobilisation canadienne d’Ecoanalytics, les étudiants sont de plus en plus habilités, c’est-à-dire qu’ils conviennent que les changements climatiques se produisent, et ils pensent qu’ils sont causés par l’être humain, ET ils indiquent qu’il est possible d’apporter des changements. (39 % en 2022, contre 28 % en 2019)